Des Tines à la Joux
Après les Tines, le profil difficile reprend pour franchir un verrou glaciaire : 70 mm/m. La ligne franchit l’Arve sur une travée métallique, puis traverse le tunnel des Éboulis qui est suivi de deux galeries paravalanches. La pente se fait ensuite plus douce, et on arrive à la halte de la Joux, au milieu des prés.
Une unité multiple de Z 800 s’apprête à franchir le pont des Tines.
Cette Z 850, qui vient de quitter la gare des Tines, s’engage dans les déclivités importantes qui la mèneront à Argentière.
Le pont sur l’Arve aux Tines, vu depuis la cabine de conduite d’une rame Z 800.
La rame Z 801/802 à destination d’Argentière vient de franchir l’Arve aux Tines ; elle avance maintenant parmi les mélèzes.
Un peu plus loin, en s’approchant du tunnel des Éboulis.
La tête aval du tunnel des Éboulis, long de 226 m.
À la sortie du tunnel des Éboulis, on pénètre directement dans un petit paravalanche (75 m). Le panneau « Gare » direction Chamonix annonce la gare des Tines.
La deuxième galerie paravalanche se profile rapidement. Ici, une Z 850 s’y engage, juste avant de rejoindre l’arrêt facultatif de la Joux.
On aperçoit bien ici les couloirs d’avalanche qui ont nécessité la constructions des galeries.
Une Z 850 s’apprête à arriver à la Joux.
Dernière mise à jour : 15 juin 2024. © Christophe Jacquet, 2000-2024.
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